Projet de recherche sur l’Ectopie testiculaire

 

Agria assurance pour animaux s’engage dans la santé canine en finançant un Fonds de Recherche de 140 000 € avec la Société Centrale Canine. Les premiers projets ont été sélectionnés fin 2018. Certains projets ciblent des races françaises, comme le Coton de Tuléar ou l’Épagneul breton. D’autres sont des études plus transversales sur des problèmes d’élevage : reproduction, oligodontie…

 

 

Projet de recherche sur le déterminisme génétique

de l’ectopie testiculaire chez le chien

 

 

Soutenus par le fonds de recherche Société Centrale Canine – Agria, des vétérinaires de l’École nationale vétérinaire d’Alfort (EnvA), dont le Professeur Alain Fontbonne, et de l’Université vétérinaire de Pérouse (Italie), s’associent pour travailler sur le déterminisme génétique des affections de l’appareil génital chez le chien, et notamment sur le déterminisme de l’ectopie testiculaire.

 

Consulter la fiche GENODOG sur l’Ectopie testiculaire

 

Afin de soutenir les efforts de sélection menés depuis de nombreuses années, ces travaux de recherche pourraient permettre de proposer des tests de dépistage pour identifier les animaux génétiquement porteurs ou à risque de transmettre l’affection avant leur mise à la reproduction. Pour cela, l’étude devra porter sur un maximum de chiens atteints, de race ou d’apparence raciale, mais également sur des animaux cliniquement sains et apparentés à ces individus (parents, descendants et collatéraux).

 

Dans un premier temps, nos équipes cherchent donc à collecter toutes les informations disponibles concernant des cas de cryptorchidie diagnostiqués sur des chiens de plus de six mois, notamment chez des chiens de race à forte prédisposition raciale. Pour participer, vous pouvez nous contacter par mail : ambre.jaraud@vet-alfort.fr

Une totale confidentialité est assurée, vis-à-vis des sociétés cynophiles (SCC et clubs de race) comme des autres éleveurs ou particuliers : aucune donnée privée ne saurait être transmise à des services extérieurs aux unités de recherche de l’École nationale vétérinaire d’Alfort ou de l’Université de Pérouse.

 

 

Publié le 8 octobre 2019 par le Dr Ambre Jaraud.